La civilisation gemelis

Les origines de la civilisation gémélis.

La civilisation gémélis s’est développée il y a plusieurs millénaires. Les origines de la civilisation gémélis c’est d’abord un peuple, les Gémélis. Les premiers représentants de ce peuple sont les divinités jumelles Simà et Fìvos qui bâtirent la cité de Fìmà. Après plusieurs siècles de développement, la civilisation gémélis atteint son apogée. La civilisation s’effondra cependant sous les attaques répétées des barbares Yans qui massacrèrent les Gémélis. Toutefois deux tribus réussirent à échapper au génocide. Conduites par Aktélìos d’un côté et Natjà de l’autre, chacune prit un chemin différent dans l’espoir qu’au moins une des tribus puisse continuer l’héritage gémélis. La tribu d’Aktélìos s’enfonça dans la forêt almasonienne, tandis que la tribu de Natjà prit la mer. Quant à la cité de Fìmà elle fut détruite par un raz-de-marée, ce alors que les barbares Yans l’occupaient. Cette fuite est datée selon les historiens il y a environ 4500 ans.

La branche siméenne.

La tribu de Natjà s’installa sur le territoire actuel d’Abalecon. Natjà fonda un grand empire mais à sa mort celui-ci fut divisé entre ses sept filles : Stravà l’aînée, Hrdla, Ségèa, Goltà, Valà, Erdèla et Klajà. Les sept provinces ainsi créées ne tardèrent pas à entrer en conflit les unes et les autres, chacune revendiquant la suprématie sur les autres. Il faut attendre la création de l’Orsàgközlöt (le conseil des Etats) pour voir de nouveau les tribus réunies et une nouvelle impératrice élue. Très vite, et ce en raison de la place privilégiée accordée aux filles aînées dans la religion siméenne, les descendantes de Stravà, les Stravì, imposèrent de gré ou de force leur suprématie. L’Etat d’Erdèla (Ardèal) proclama cependant son indépendance mais fut réintégré à l’Empire en janvier 2011. L’Impératrice Natàsa, qu’Elle soit mille fois bénie, est la 265ème descendante de Stravà sur le trône abaleconien.

La branche aktelian.

Après de nombreuses pérégrinations, la tribu d’Aktélìos parvint à se débarrasser des Yans et fonda Fìvopolìs. A suivre.